Actu Normalisation|28/10/16

Les enjeux de la robotique collaborative

Accueil > L’actualité d’EUROGIP et des risques professionnels en Europe > Les enjeux de la robotique collaborative

Le 30 septembre dernier, la Direction Générale des Entreprises (DGE), le SYMOP et la FIM ont organisé une journée technique sur le thème « robotique collaborative et industrie » dans le cadre du plan Industrie du futur de la France industrielle et notamment dans le plan robotique, l’équivalent du plan industrie 4.0 allemand. 

Pour développer le marché de la robotique collaborative, il est impératif de répondre à de nombreux défis tels que le développement des technologies appropriées – amélioration des technologies de détection de personnes, stratégies d’évitement des obstacles statiques ou dynamiques, problématiques de fonctionnement sûr pour les aspects logiciels, etc. – ou encore l’acceptation des opérateurs et la gestion des risques psychosociaux.

C’est dans cette optique de sécurité que les normes internationales (ISO 10218-1 et 2), qui ont été élaborées respectivement dans le but d’aider les fabricants de robots et les fabricants de systèmes robotisés à atteindre les objectifs de sécurité fixés par la règlementation, vont être prochainement révisées.

Les objectifs affichés du Tech day étaient de rapprocher fabricants de robots et industriels afin de confronter l’offre technologique aux besoins des différents domaines, de structurer le marché, etc. et de permettre ainsi aux industriels et aux clients potentiels d’échanger sur leurs besoinsCette journée proposait également de s’interroger sur les enjeux et les perspectives de la robotique collaborative, notamment les limites actuelles des technologies collaboratives, les secteurs de l’industrie qui pourraient avoir avantage à utiliser ce type de technologies, dès aujourd’hui, mais aussi dans les prochaines années.

Découvrez d’autres actualités

Actu Pays

27/06/24

DANEMARK : un traitement plus rapide des dossiers d’indemnisation des accidents du travail

De nouvelles règles, qui entrent en vigueur le 1er juillet, doivent permettre de fournir des réponses plus rapides aux victimes d'accidents du travail quant à leur indemnisation éventuelle. Désormais, l'employeur, le médecin ou la municipalité sont passibles d'amende en cas de non envoi d'informations dans le délai fixé par la loi, à savoir au plus tard 14 jours après le premier jour d'absence, si l'accident a entraîné une incapacité de travail/une absence du travail habituel du salarié au-delà du jour de l'accident.

Actu Pays

26/06/24

ALLEMAGNE : en 2023, le nombre d’accidents mortels du travail et de trajet a été plus faible que jamais

Le nombre d'accidents du travail à déclarer en 2023 était inférieur à celui de 2019, soit 783 426 contre 871 547. Un nombre record, si l'on exclut les années 2020 à 2022, fortement influencées par la pandémie de Covid-19. De même, le nombre d'accidents mortels du travail et de trajet a été plus faible que jamais et le nombre de déclarations et de reconnaissances de maladies professionnelles a fortement diminué.