Actu Pays|01/08/23

AUTRICHE : l’Inspection du travail s’attaque à la violence au travail

Accueil > L’actualité d’EUROGIP et des risques professionnels en Europe > AUTRICHE : l’Inspection du travail s’attaque à la violence au travail

En 2023-2024, l’objectif prioritaire de l’inspection du travail est d’accompagner les entreprises dans la protection des salariés contre la violence au travail et de traiter les incidents de manière appropriée.

La violence sur le lieu de travail – qu’elle soit physique, psychologique ou sexuelle – peut prendre différentes formes. Outre les blessures physiques, ce sont surtout les séquelles psychologiques qui peuvent être préjudiciables aux salariés. L’inspection du travail souhaite donc aider les entreprises dans la mise en place de mesures préventives. Plus de soixante inspecteurs du travail ont été formés au plan national. Une information complète destinée aux employeurs, aux cadres et aux employés vise à les sensibiliser aux formes de violence au travail et, si nécessaire, à améliorer en conséquence la sécurité et la santé au travail.

L’inspection du travail a travaillé en étroite collaboration avec d’autres instances judiciaires liées à la violence. Un accent particulier est mis sur le rôle important de l’évaluation pour qu’il n’y ait aucun risque de violence entraînant un danger sur le lieu de travail.

En savoir plus

 

Découvrez d’autres actualités

Actu Communautaire

27/09/24

Le mésothéliome : une maladie professionnelle toujours d’actualité

Même si les cas diminuent depuis 2013, Eurostat révèle qu'en 2021 l'UE a encore enregistré 2 380 décès dus au mésothéliome, un cancer principalement lié à une exposition à l’amiante d’origine professionnelle. Cette exposition a pu survenir plusieurs dizaines d’années avant le développement de la maladie.

Actu Normalisation

26/09/24

Pas d’accords d’atelier pour traiter de SST

Le CEN a pris une décision similaire à celle du CENELEC pour l'électrotechnique. Désormais, ses “accords d'atelier” (CEN Workshop Agreements, CWA), souvent produits dans de courts délais pour répondre aux besoins de secteurs en évolution rapide, ne pourront plus traiter de la santé et sécurité au travail (SST). Une position que soutiennent notamment l’INRS et EUROGIP en France.