Actu Communautaire, Actu Covid-19|18/03/20

Covid-19 et disponibilité des ÉPI dans l’industrie

Accueil > L’actualité d’EUROGIP et des risques professionnels en Europe > Covid-19 et disponibilité des ÉPI dans l’industrie

La Fédération européenne de la sécurité (ESF) alerte sur l’indisponibilité de certains équipements de protection individuelle (EPI) dans l’industrie.

En effet, la demande a considérablement augmenté en raison de la crise sanitaire mondiale liée au COVID-19. Certains pays ont imposé des restrictions à la libre circulation des EPI. Cela a encore plus exacerbé la situation.

Ainsi, soit la disponibilité des EPI utilisés au quotidien est limitée, soit les travailleurs doivent utiliser d’autres types de protection (s’il existe des alternatives). Il faudra alors s’interroger sur l’évaluation des risques, revoir les politiques de contrôle des dangers et spécifier des alternatives adéquates et appropriées.

Une autre solution consisterait à arrêter la production industrielle par manque d’EPI appropriés ou de mesures de contrôle alternatives. Mais cela créerait encore plus de problèmes économiques pour la communauté mondiale.

En savoir plus

Découvrez d’autres actualités

Non classifié(e)

26/09/23

SUÈDE : AT graves et arrêts maladie de longue durée dans l’industrie agroalimentaire

Les travailleurs de l'industrie alimentaire - environ 22 000 personnes en 2021 - courent un risque plus élevé d'accidents du travail (AT) graves que les autres groupes professionnels. Le risque moyen pour les années 2017-2021 était de 9,7 accidents du travail graves pour 1 000 salariés. Il était de 15,5 pour les bouchers, 8,9 pour les opérateurs de machines, qui ont connu les accidents du travail les plus graves, et de 5,3 pour les boulangers-pâtissiers.

Actu Pays

22/09/23

FINLANDE : le nombre d’accidents du travail a augmenté en 2021

En 2021, plus de 91 159 accidents du travail se sont produits en Finlande, soit environ 4 500 de plus qu'en 2020. Comme l'année précédente, ce sont les travailleurs de la construction (10 787), les travailleurs des services de soins et de santé (9 367) et les travailleurs des ateliers d'usinage et de fonderie (7 162) qui ont été les plus concernés.