Actu Communautaire|08/07/15

Directive « machines » 2006/42/CE : l’évaluation devrait bientôt commencer

Accueil > L’actualité d’EUROGIP et des risques professionnels en Europe > Directive « machines » 2006/42/CE : l’évaluation devrait bientôt commencer

La Commission européenne a prévu d’évaluer la mise en œuvre de la directive Machines 2006/42/CE ainsi que l’atteinte des objectifs fixés, au second semestre 2015. Cette évaluation, d’une durée d’un an, se fera sur la base d’un questionnaire et d’une étude auprès des parties intéressées (dont les organisations professionnelles européennes et nationales et les Etats membres de l’UE).

Les résultats feront l’objet d’un rapport en 2016. Sur cette base, la Commission décidera de la révision ou non de la directive de 2006. Si la révision est décidée, la directive devrait être remplacée par un règlement vers la fin 2020.

Voir le programme de travail de la Commission européenne

Découvrez d’autres actualités

Actu Eurogip

17/07/24

Les Discussions d’EUROGIP #2 – Travailler en période de forte chaleur : où en est-on en Europe ?

Alors que l'année 2023 était déjà considérée comme la plus chaude jamais enregistrée, les deux tiers de l'Europe subissent de très fortes chaleurs depuis le mois de juin 2024. Quelles sont les conséquences pour la santé-sécurité des travailleurs ? Quelles actions mettre en œuvre pour prévenir les risques en Europe ? EUROGIP fait le point sur ces questions dans le 2e épisode de sa nouvelle série vidéo, “les discussions d'eurogip”.

Actu Pays

12/07/24

ITALIE : vers un permis de sécurité à points ?

À l'instar du permis de conduire à points dont le nombre diminue en fonction des infractions, le gouvernement italien veut introduire un permis de sécurité à points, pour les entreprises du BTP d'abord, avec une possible extension à d'autres secteurs.

Actu Communautaire

11/07/24

Position de BusinessEurope sur le télétravail et le droit à la déconnexion

Le 25 juin 2024, BusinessEurope a répondu à la consultation de la Commission européenne sur le droit à la déconnexion, soulignant qu'une réglementation excessive pourrait entraver la croissance et les avantages du télétravail, et prônant une intervention minimale de l'UE qui laisse les États membres, les partenaires sociaux et les entreprises développer leurs propres politiques.