Actu Pays|08/02/17

ESPAGNE : 36 millions d’euros pour la SST d’ici 2020

Accueil > L’actualité d’EUROGIP et des risques professionnels en Europe > ESPAGNE : 36 millions d’euros pour la SST d’ici 2020

La ministre de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fátima Báñez, a annoncé que le gouvernement consacrerait, d’ici 2020, 36 millions d’euros à la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour la sécurité et la santé au travail. Cette initiative résulte d’un consensus avec les partenaires sociaux et les Communautés autonomes.

Elle a souligné l’engagement de son ministère qui a lancé des initiatives pour promouvoir et renforcer la culture de la prévention, une culture « qui ne doit pas seulement nous aider à réduire les taux de sinistralité au travail mais aussi à améliorer les conditions de sécurité et de santé au travail ».

Madame Báñez considère qu’avec cet engagement tout le monde est gagnant, des entreprises qui, en remplissant leurs obligations, contribuent à réduire la sinistralité au travail et l’absentéisme, jusqu’aux travailleurs, qui voient leurs conditions de travail et de vie s’améliorer, en passant par la Sécurité sociale « colonne vertébrale du système social de l’Etat ».

En savoir plus (en espagnol)

Découvrez d’autres actualités

Non classifié(e)

26/09/23

SUÈDE : AT graves et arrêts maladie de longue durée dans l’industrie agroalimentaire

Les travailleurs de l'industrie alimentaire - environ 22 000 personnes en 2021 - courent un risque plus élevé d'accidents du travail (AT) graves que les autres groupes professionnels. Le risque moyen pour les années 2017-2021 était de 9,7 accidents du travail graves pour 1 000 salariés. Il était de 15,5 pour les bouchers, 8,9 pour les opérateurs de machines, qui ont connu les accidents du travail les plus graves, et de 5,3 pour les boulangers-pâtissiers.

Actu Pays

22/09/23

FINLANDE : le nombre d’accidents du travail a augmenté en 2021

En 2021, plus de 91 159 accidents du travail se sont produits en Finlande, soit environ 4 500 de plus qu'en 2020. Comme l'année précédente, ce sont les travailleurs de la construction (10 787), les travailleurs des services de soins et de santé (9 367) et les travailleurs des ateliers d'usinage et de fonderie (7 162) qui ont été les plus concernés.